Jour 30 déjà…
Le portefeuille est un cas de dessin que j’ai déjà rencontré : pour que les gens comprennent que c’est un portefeuille, il est plus efficace de dessiner un truc avec le portefeuille qui permette de capter tout de suite ce dont il s’agit : des billets qui dépassent, une carte glissée, une pièce de monnaie.. selon l’humeur.
Pour les « émotions complexes », j’ai commencé par me lancer dans des trucs du style Léonard de Vinci, avec des vrais gens dessinés et des visages compliqués. et puis j’ai déchiré ces feuilles et je me suis fixé un objectif plus en rapport avec ce que je recherche : comment associer une activité et un visage pour faire passer l’état d’esprit d’un personnage simple et moche comme je les fais si bien.
J’ai pris quatre situations (le podium, la lecture, le tennis, et chanter avec un micro); et essayé de dessiner chacune de ces scènes deux fois : avec un personnage heureux et avec un personnage qui ne l’est pas.
Je sais, c’est niveau maternelle, mais c’est assez rassurant de me dire que je ne vais pas devoir attendre le jour 840 pour dessiner des gens en faisant comprendre ce qu’ils pensent.
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